Il y a quelques années, il n'était pas rare de rencontrer des personnes qui n'avaient pas de prêt. Soit ils achetaient au comptant, soit il n'achetait et ce quelque soit l'objet ou le bien en question. Mais depuis le monde capitaliste a modifié l'économie de chacun et les banques ont multiplié les offres de prêt, les assurances se sont aussi mués en prêteurs et les organismes de crédit sont légion. Et il existe également le pret entre particulier, rarement utilisé mais qui est facile à mettre en place. Dans ce cas, ce n'est donc pas une banque ( ou un autre organisme ) qui est prêteur mais un particulier. Ce système peut être intéressant pour une personne inscrite au fichier de la banque de France, et qui n'a donc pas accès aux offres de financement classique. Bien entendu, cette solution est "réglementé" afin d'éviter tout éventuel problème. Ainsi, le montant miminimum d'un tel prêt est de 760 euros. Le prêteur engage alors sur ses fonds personnels comme une banque. C'est donc un crédit à la consommation, régi par des conditions d'emprunt, des taux, des délais, etc. Un contrat est donc signé entre les parties et précise le montant du prêt, la durée de celui-ci et la fréquence des mensualités de remboursement. On peut aussi y trouver le tau d'intérêt, bien que cette mention soit facultative. Au niveau du prêteur, il faut savoir que tout prêt entre particuliers doit être déclaré au service des impôts. Que vous prêtiez de l'argent ou que vous en receviez, vous devez déclarer les intérêts reçus ou versés. Ces derniers seront imposables pour le prêteur. Et s'il oublie de les mentionner lors de sa déclaration de revenus, l'administration fiscale peut taxer la somme comme revenu d'origine indéterminée. Si vous désirez plus d'informations sur le sujet, je…
300